Nicolas Pettiaux
Belgium
Nicolas Pettiaux est l'initiateur et le coordinateur de la conférence EduCode.
Depuis 2011, Nicolas Pettiaux est maître-assistant à l'École supérieure d'informatique. Il est aussi collaborateur scientifique du laboratoire LISA de l'École polytechnique de l'Université libre de Bruxelles.
Depuis 2000, il est un promoteur des logiciels libres, des standards ouverts et de l'open-access en Belgique. Il a été membre du conseil d'administration de l'APRIL et de l'AFUL. Prenant exemple sur une campagne analogue initiée en France, il a lancé le site Candidats.be pour faire la promotion des logiciels libres auprès des candidats aux élections régionales (2009), puis fédérales (2010) et enfin communales (2012). Il a étendu cette précédente campagne aux sujets liés de l'open-data et de l'internet libre, donnant naissance au site LePacte.be qui sera bientôt repris par lepacte.org. Ces deux initiatives ont recueilli la signature de très nombreuses personnalités politiques, parmi lesquelles plusieurs ministres et présidents de partis. Avant fin 2018, un bilan sera mené et publié.
Nicolas Pettiaux est l'initiateur et souvent l'organisateur d'activités autour du logiciel libre à Bruxelles, dont les Rencontres mondiales du logiciel libre en 2013.
Il est intéressé par les nouvelles formes de collaboration et de production de contenus de toute nature qui sont permises par le numérique et Internet. Il a milité contre les brevets logiciels, pour l'adoption des standards ouverts et de logiciels libres par les institutions publiques, pour l'adoption de logiciels libres par les bibliothèques et écoles, ou encore pour la production académique en open-access.
Nicolas utilise presque exclusivement des logiciels libres et, comme Richard Stallman, il pense que les écoles du monde entier devraient faire la même chose
Nicolas est un des représentants officiels de Creative Commons en Belgique. Il pense en particulier que la licence par défaut pour tous les travaux des élèves, étudiants et professeurs devrait être la licence CC-BY et que tous les travaux financés par des deniers publics devraient être sous la licence CC-BY-SA.